Sur le chemin du retour et la fin du voyage.

La suite s'est déroulée assez vite, tout en remontant vers Lima, avec plusieurs étapes sympathiques. Le premier stop était la ville d'Areiquipa.

Je m'y suis arrêtée en retrouvant par le plus grand des hasards Pauline et Guillaume, mes compagnons de voyage en Bolivie. 

Nous avons séjourné dans la ville dégustant les meilleurs avocats de la planète et nous nous sommes promenés dans les rues de cette ville pleine de charme.

Son architecture est très coloniale et me faisait penser à une ville du sud de l'Espagne avec pleins de petits patios aux couleurs vives.

J'ai profité aussi de mon séjour à Areiquipa pour aller faire un coucou à la momie Juanita. Cette momie Inca, retrouvé en 1995, a plus de 500 ans et se fait appeler couramment « la princesse des glaces ».

Elle a été découverte en effet à 6300 mètres d'altitude, au sommet d'une montagne, car la glace l'emprisonnant avait fondu.

C'était une princesse qui avait été sacrifiée comme offrande aux dieux pour calmer les éruptions volcaniques de la région. Elle appartenait à une école spéciale d'enfants à sacrifier et savait depuis son enfance quelle serait sa fin.

La photo n'est pas de moi mais vous pouvez avoir un aperçu de Juanita, et de son état de conservation impressionnant.

 

Quelques jours plus tard je partais retrouver Charlotte et mes deux copains parisiens dans l'oasis d'Ica.

Cette partie du Pérou désertique possède le même type de dunes que le Sahara et nous étions dans l'oasis la plus connue de la région (par la même occasion très touristique).

 

Ici l'activité la plus populaire est le sunboard, le surf sur les dunes de sable.

Et ça n'a pas loupé, ni une ni deux nous étions équipés pour tenter de descendre les grandes dunes en mode freeride.

 

Pas si facile en fait, le sable c'est comme de la poudreuse très épaisse et pour tourner il ne faut pas se contenter d'un petit mouvement.

Quant à la glisse, nous mettions de la cire de bougie qui fondait rapidement avec la chaleur du sable.

 

Mais cela n'empêche pas que j'ai adoré cette activité et que lorsque je tombais ça ne faisait pas mal, et ça c'est super !

 

Après cette chouette expérience, nous avons pris tous les 4 la route vers Lima.

Lima, pour la décrire, c'est gris. En hiver, le courant El nino apporte en cadeau à la ville une nappe épaisse de brouillard qui ne permet pas de distinguer ni le soleil le jour, ni les étoiles la nuit. Le ciel n'est ni bleu ni noir, mais gris.

Cette ville un peu fantôme a attiré de nombreux poètes qui venaient chercher l'inspiration dans cette brume, mais y vivre n'a rien d'agréable.

 

Cela étant j'ai quand même beaucoup apprécié Lima jour après jour découvrant ses nombreux quartiers complètement différents et vivants malgré le temps.

J'y ai fait mes adieux à Charlotte après 3 mois de voyage, ainsi qu'à Nicolas et Andreea qui partaient tous les 3 vers les plages du nord.

 

C'était vraiment le top du top de voyager avec vous, merci pour tout!

Je logeais à ce moment chez une amie de mon père, Maria Jose, qui m'a accueillie dans sa famille comme si j'en faisais partie. Et cette chaleur humaine que l'on retrouve dans les pays latinos s'est particulièrement fait ressentir pendant ce séjour.

En Amérique du sud, à l'inverse de l'Europe, les gens parlent fort, s'aiment et se disputent haut et fort, dansent, vivent et expriment cette vie comme jamais.

 

Par la suite, mes plans étaient de partir pêcher le piranha dans la jungle amazonienne. Mais un décès dans ma famille m'a rappelée en France.

 

Après 11 mois de voyage, mon tour du monde s'est achevé.

Cela a été un sacré choc de revenir en France. J'étais une sorte d'Hibernatus à la pensée schizophrénique lorsque j'ai ré-entendu parler français aux douanes.

Le « bonjour » avait du mal à sortir, à la place le « hola » ou « hello » prenaient le dessus.

Je me suis rendue alors compte que j'avais perdu beaucoup de repères.

Ce n'est pas facile le retour après plusieurs mois de vadrouille.

Mes souvenirs s'entrechoquent, ma tête est proche de l'explosion d'images, sensations, expériences et il va me falloir quelques jours pour faire le tri dans tout ça !

 

Je vous remercie en tout cas tous pour m’avoir suivie, pour votre soutien, et pour votre présence tout au long de ce grand voyage.

Mais je vous préviens je risque de repartir bientôt !!!

 

Écrire commentaire

Commentaires: 5
  • #1

    Gui and pau (lundi, 23 juillet 2012 15:49)

    On pense a toi depuis Mancora, les cocos viennent de nous quitter c'est bizarre tout le monde est sur la fin + toi qui a due rentrer... On est bluzzeux
    Bon courage et mange du fromage et saucisson pour nous!!
    Bises

  • #2

    camilletourdumonde (mardi, 24 juillet 2012 00:06)

    Aaah les zamis vous me manquez.. je parle souvent de vous autour de moi en ce moment, avec beaucoup de nostalgie. Et je suis en train de me métamorphoser en fromagologue et oenologue si vous saviez..le top du top c'est la baguette bien chaude au réveil !!! Je vous embrasse fort mon guigui et ma popo préférée!

  • #3

    Agnès (ccv) (mardi, 31 juillet 2012 23:29)

    Merci à toi pour ces longues soirées de rêves en famille. Repars le plus vite possible...tu es faite pour ça. Propose tes récits à Géo ou à Grands Reporters pour peut-être repartir plus vite. Tu es si agréable à lire! Bon courage pour les jours à venir. A bientôt. Agnès
    PS: Que va devenir ce blog?

  • #4

    DD y Nico (jeudi, 02 août 2012 01:47)

    Hola chica!
    Ca fait quelques temps que tu es rentrée, comment ça se passe? As-tu retrouvé un peu de tes repères? J'espère en tous cas que tu profites un peu de l'été toulousain avant de te remettre dans le bain du travail.
    Le côté fromagologue et oenologue de ton retour nous fait bien envie...surtout à Nico qui en salive d'avance et rend la perspective du retour un peu moins dure. Je dis bien un peu...parce que perso je l'appréhende bien, même si mon retour sera moins brusque que n'a été le tien. Bisous à toi. Les parisiens.

  • #5

    camilletourdumonde (jeudi, 09 août 2012 17:58)

    Agnès, merci pour ton message, ton soutien et ton suivi au cours de cette année. Ce blog va rester en ligne, mais parallèlement j'ai un autre projet dont je te parlerai quand il sera plus abouti. Je passerai dans le service fin août pour dire bonjour à tout le monde, j'espère t'y croiser. En attendant, bonne fin du mois août et à bientôt !

Sur le Chemin du Machu Picchu – 1 juillet

Ça y est, enfin, la cité Inca perdue dans les montagnes pointait le bout de son nez !

Pour nous y rendre, nous avions décidé de faire escale dans la vallée sacrée des Incas, vallée où se trouvent de nombreuses ruines et petites villes, à commencer par Pissac.

A Pissac nous nous sommes arrêtées deux jours, le temps de faire un tour dans les ruines d'une cité qui surplombe la ville.

 

Nous nous sommes levées à 4h du matin, lampe torche en main (enfin plutôt lumière du téléphone portable) pour escalader les nombreuses marches qui mènent aux ruines.

En arrivant à l'aube tout en haut, nous nous sommes retrouvées seules sur le lieu (et en plus nous avions grugé le gardien qui ne nous avait pas fait payer l'entrée car il dormait encore !).

Imaginez donc, voir le lever du soleil en haut de la montagne, entourées de ruines et seules sans autres touristes ! Le pied.

 

Nous avons profité de cette solitude pour tourner un petit court métrage dans les ruines. En voici la vidéo en exclusivité :

Après Pissac, nous sommes parties en direction d’Ollantaytambo (pas facile à prononcer hein?!). Cette petite ville est vraiment très belle. Elle est restée authentique car il s'agit de constructions Incas dans lesquelles les gens continuent de vivre.

Ils étaient vraiment forts ces Incas (encore une fois).

 

Nous avons ainsi appris à Ollantaytambo que chaque ville que les Incas construisaientavait une forme sacrée. Ici par exemple la ville est en épi de Maïs. Au-dessus de la ville, la forteresse a la forme d'un lama (avec un peu d'imagination quand même). La montagne en face a le visage du dieu soleil Inti gravé dans la roche (essayez de le retrouver sur la photo!)

Quant à l'autre montagne, on y distingue un condor gravé.

Et le top du top c'est lors du solstice d'hiver (ou d'été), les rayons du soleil passent pile au niveau de l’œil de Inti pour éclairer une partie de la vallée et atterrir sur l’œil des ruines en forme de lama !

 

 

Quittant Ollantaytambo, nous nous sommes séparées avec Charlotte pour tester deux chemins différents menant au Machu Picchu.

Pour toutes personnes souhaitant se rendre sur le lieu, n'hésitez pas à me contacter car j'ai tout un débrif sur les chemins routards. En effet, lorsque que l'on s'éloigne du chemin tout tracé touristique qui part en train de Cuzco pour arriver en bas du Machu (et dépenser 400 dollars aller-retour qui vont directement dans les poches d'une société privée Chilienne), les infos manquent.

 

Après donc une série de petits bus et d'une belle marche en suivant la voie ferrée dans des paysages dignes d’Indiana Jones ou de Jurassic Parc, j'ai retrouvé Charlotte dans la ville en aval du Machu : Aguas Calientes (nommé aussi le Walt Disney du Pérou).
Je vous la décris en deux deux : des hôtels, des statues toutes récentes en faux or, des restaurants américains et occidentaux, et des sollicitations continuelles pour dépenser son argent...
Voilà Aguas Calientes.

La suite a été courte : nous avons mis le réveil à 4h du matin pour arriver les premières sur le site. Lumière du portable en main, nous avons marché sur l'ultime chemin qui nous menait à la cité.

A vrai dire je ne le conseille pas ! 1H30 de marche hyper raide, sur des marches super mal faites (je lance un appel à celui qui les a construites : pourquoi sont-elles si hautes et si inégales? Porque ?), à faire une pseudo course avec les autres touristes qui veulent aussi arriver en premier sur le lieu. Pas facile je dois vous l'avouer.

Au final nous sommes arrivées en même temps que les premiers bus touristiques que nous étions censées doubler.

Mmouais...

 

Bref les jambes en compote, mais ravies d'être enfin au sommet, nous avons aperçu sous les brumes les premières ruines.

Et c'est là que l'on se rend compte que toute cette route en vaut la chandelle.

C'était tout simplement magnifique.

Nous étions heureusement parmi les premières sur le site et nous avons passé un bon moment à déguster nos cookies de récompense face à cette belle cité Inca.

Ce moment là était magique.

 

Pour le petit côté historique, la cité du Machu Picchu n'a été découverte qu'en 1911. 300 ans après la colonisation, et elle reste encore pleine de mystères.

Je me mettais à la place de l'aventurier qui l'a découverte et de l'incroyable sentiment qu'il a dû ressentir une fois sur place.

 

 

Après, de nombreux bus touristiques plein de chinois sont arrivés et là c'était moins magique.

Après cette contemplation ainsi que la dégustation salvatrice de cookies, nous avons repris la marche pour monter sur la montagne surplombant le Machu : le Huaya Picchu.

Et c'était repartit pour 1h30 de marche raide, raide, raide pour arriver au sommet et voir le Machu d'en haut.

Nous avons ainsi pu distinguer les formes que les Incas avaient construites dans la cité : un crocodile, un condor et un puma.

Un autre puma est gravé dans la roche de la montagne sur laquelle nous culminions la scène.

Vous l'aurez compris, les symboles sacrés étaient très importants pour cette civilisation.

 

 

Le Machu Picchu ça reste quand même sportif, mais ça restera un de mes plus beaux lieux visités de ce tour du monde qui vient se classer dans le top5 avec le Taj Mahal et le Salar d'Uyuni.

 

Un grand moment que j'attendais depuis longtemps dans mon voyage.

 

Écrire commentaire

Commentaires: 0

Promenade dans Cuzco – 26 juin

Cuzco est l'ancienne capitale Inca, « le nombril du monde » dans leur langue. Malgré la présence espagnole qui a détruit une bonne partie de la ville, les restes de la civilisation Inca restent bien présents.

 

Et quand je dis que les Espagnols ont beaucoup détruit, l'exemple le plus frappant et celui de l'ancien palais royal qui a été remplacé par un monastère, bien qu'il reste quelques murs de l'époque ayant été conservés.

C'est ça qui est sympa à Cuzco, de se promener et de voir le mélange des styles entre murs Incas intégrés aux constructions des conquistadors.

Une des rues les plus connues est construite à la manière Inca et possède une pierre à 12 angles dans son mur (ils étaient forts quand même!).

 

 

Sur le plan historique Cuzco possède aussi une grande cathédrale, une des plus belles du monde d'après certains. Et en effet elle est vraiment belle et impressionnante.

Mais ce qui en fait surtout sa particularité, c'est encore une fois le mix des deux cultures qui est représenté dans un grand tableau qui représente la Cène, le dernier repas de Jésus. On y voit tous les apôtres partageant, non pas du pain et du vin, mais un cochon d'Inde cuisiné à la mode locale !!!

Car comme disent les Péruviens, ici le partage se fait par le cochon d'Inde.

 

Il s'agit d'un plat de fête très réputé au Pérou, et cher par rapport à d'autres plats. Ils en raffolent !Ici on appelle ce plat le Cuy (à prononcer « couye » pour pas l'écrire de façon vulgaire!).

Je ne vous cache pas que les jeux de mots fusent avec ce plat.A ce sujet je n'ai pas encore osé y goûter.

Il s'agit bien d'un cochon d'Inde cuisiné en ragoût, ou au four, enfin de plein de manières différentes, et que l'on sert dans l'assiette avec son petit corps conservé en entier !!

C'est donc avec son propre couteau et sa propre fourchette qu'on découpe le petit animal cuit et pelé dont on aperçoit encore les petites dents... !!!

Mes hamsters m'ayant laissé un souvenir ému ne me permettent pas de manger un de leurs compères.

Fin de la parenthèse cochon d'inde.

 

Nous avions entendu beaucoup de mal concernant la mentalité des péruviens avec les touristes.

Mais nous avons vraiment été surpris de leur accueil et gentillesse. Bien sûr, Cuzco est archi bondée de touristes, avec des boutiques riches et des restaurants de partout. Certains l'appellent le Dysneyland péruvien.

Mais quand on s'écarte des rues de gringos, que l'on fait un tour au marché, on découvre les rapports simples et agréables que l'on avait pu avoir en Bolivie.

Écrire commentaire

Commentaires: 0

La fête du soleil à Cuzco – 26 juin

Après notre super nouvel an à Tiwanaku, nous comptions relever le niveau avec la fête du Soleil, l'Inti Raymi, à Cuzco.

 

Il s'agit d'une grande fête Inca (la plus grande d'Amérique du Sud) célébrant le soliste d'hiver en rendant hommage au soleil.

Au temps des Incas, elle se déroulait le 21 juin. Mais les conquistadors y voyant une fête païenne exigèrent que les festivités soient déplacées le 24, jour de la Saint-Jean, pour célébrer plutôt ce dernier.

La fête fut donc décalée mais les festivités restèrent pour le soleil (et PAF encore un coup à l'inquisition!).

Cette fête est donc une reconstitution d'une grande cérémonie avec le chef Inca, son épouse préférée (les autres sont aussi là), les gouvernants des différentes régions du royaume, plein de guerriers, plein de musiciens qui jouent de la flûte de pan et soufflent dans des coquillages, plein de danseurs, plein de belles tenues, plein de couleurs.

Il y avait même un acteur déguisé en sorte de lapin qui faisait des bonds partout et nous a bien fait rire.

 

Bref, plein de monde.

Les spectateurs qui ont le plus profité de cette cérémonie sont sûrement ceux qui ont payé leurs places dans les gradins (80 dollars, eh oui!) et étaient quasiment aux premières loges.


Sinon il y avait les autres, les voyageurs à la recherche de plans économiques, qui sont arrivés assez tôt pour se placer sur la petite colline surplombant la scène afin d'assister au spectacle d'un peu plus loin.

Charlotte et moi, ainsi que nos copains parisiens Andreea et Nicolas que nous avions rejoints étions donc sur la colline comme vous l'avez compris.

 

Au final l'animation s'est plus passée autour de nous qu'en bas avec les Incas !Je vous dépeins la scène : nous étions très très nombreux (petits voyageurs à petit budget et péruviens en famille) et nombreux étaient ceux qui se levaient pour prendre des photos et cacher la vue aux autres.

 

Contre toute attente les Péruviens peuvent être de vrais combattants dans ces moments-là !Et après avoir entendu « attention il va pleuvoir !!! », nous avons vu des pluies d'épluchures, bouteilles, et objets en tous genres tomber sur les gêneurs.Pour le coup c'était assez drôle et nous avons pris plaisir à prendre part à ce lancer d'objets, chose qu'il est difficile de faire en France lors d'un spectacle.

 

Nicolas s'est d'ailleurs révélé être un sacré lanceur d'épluchures de mandarines.

Même les vendeurs ambulants se recevaient parfois des projectiles par des mamitas enragées. Un vrai spectacle je vous promets !

Mais pour en revenir au vrai spectacle, et enchaîner avec le thème de la pluie, la fête du soleil n'a pas vraiment porté son nom ce jour-là.

Il a plu, grêlé, et c'était tout le temps nuageux.

Donc bon, les conditions n'étaient pas top, jugez-en par cette vidéo :

 

Quant au spectacle, qui dit grêle, placement éloigné, projectiles de mandarine dans tous les sens ; autant dire que nous ne l'avons pas trop suivi.

 

Cependant, le moment fort a été quand l'Inca en chef a salué le soleil... Et là comme dans les films, (ou le roi lion) le soleil a éclairé la scène !

Un autre moment fort était l'observation des nombreux costumes et les belles figures des acteurs avec des jumelles achetées pour l'occasion (qui devaient zoomer à un moins de 1,5 je pense) et le zoom de l'appareil photo de Charlotte !

Ces  jumelles m'ont servi pour me faire des copains péruviens à côté de moi et une copine mamita au rire communicatif mais aux ongles de pied que j'évitais de regarder.
Enfin voilà je vais éviter de faire ma française râleuse concernant l’événement, car même si nous n'étions pas vraiment à fond dans le spectacle, on a bien rigolé et la mise en scène était vraiment belle, même de loin.

Le soir à Cuzco, de nombreux mini-concerts ambulants se sont organisés dans la ville, nous faisant découvrir les tenues traditionnelles de différentes parties du Pérou, et nous faisant danser sur de la musique joyeuse.

C'était drôle encore une fois de danser à côté d'une mamita très concentrée et qu'il fallait imiter !
En bref, beaucoup de couleurs et de musiques, de quoi nous accueillir sympathiquement dans notre première ville péruvienne.

Écrire commentaire

Commentaires: 3
  • #1

    Nadège (lundi, 16 juillet 2012 00:36)

    Salut Camille !
    Je suis une copine de Larissa, et en jetant un coup d'oeil à ton site je me rends compte que nous étions à Cusco en même temps, mais nous lors de l'Inti Raymi nous étions sur l'autre coline... Nous sommes rentrés hier soir à Toulouse... Snif ! Bonne fin de voyage à toi, profite-bien de la fin de ton trip.

  • #2

    camilletourdumonde (jeudi, 19 juillet 2012 20:55)

    Salut Nadège
    C'est fou ça !! Mais bon vu le monde je sais pas si on se serait retrouvée !
    ça t'as plu au fait ? Je viens de rentrer, snif aussi...
    j'espère que t'as bien profité de ton voyage. Bisous, et peut-être à bientôt par l'intermédiaire de Lari

  • #3

    chantal (mercredi, 08 août 2012 10:06)

    coucou Camille
    bienvenida en francia!! si tu veux parler de ton voyage , ce sera avec grand plaisir!! je sais que le retour peut etre parfois un peu dur. bizzz